La cigarette électronique : un moyen de sevrage tabagique sans danger

En France, le tabagisme est la première cause de mortalité évitable, avec environ 75 000 décès chaque année. En moyenne, un fumeur régulier sur deux meurt prématurément des causes de son tabagisme. On compte trois principales maladies liées au tabac : les cancers, les maladies respiratoires et les risques cardiovasculaires.

La cigarette électronique est le moyen de sevrage tabagique le plus utilisé en France. Elle permet d’apporter de la nicotine rapidement dans le corps, de manière saine. Il est important d’informer sur l’efficacité de la vape en tant que moyen de sevrage tabagique, ainsi que sur les contrôles que subissent les produits du vapotage en Europe et plus particulièrement en France. Les données sur les émissions de l’aérosol doivent être notifiées sur une plateforme européenne. Elles sont normées au niveau français, commencent à être normées au niveau européen, et sont en cours de normalisation au niveau international.

Nous savons ce qui sort d’une cigarette électronique : le matériel et les e-liquides sont parfaitement maîtrisés et définis, connus en matière de composition.  Dans un e-liquide, il n’y a toujours pas de goudron ou de monoxyde de carbone, ni de nitrosamine. 

Ne pas confondre la cigarette électronique, le tabac chauffé et le tabac

Il est nécessaire de ne pas confondre le tabac chauffé, le tabac et la cigarette électronique.

Afin de se diversifier, et de contrer les moyens de sevrage tabagique (dont la cigarette électronique) l’industrie du tabac développe de nouveaux produits dits à « nocivité réduite », comme le principe de tabac chauffé. Il s’agit simplement d’une nouvelle antenne de l’industrie du tabac où la fausse science de la « réduction du risque » est une manière de rebondir et continuer à engranger des profits malgré la diminution du tabagisme. Il est urgent de taxer et de réglementer ces produits de la même façon que la cigarette. Le volume des ventes de cigarettes décline depuis de nombreuses années, tant en France que dans le monde, cependant l’industrie du tabac continue de se porter comme un charme, offrant à ses actionnaires des profits en constante augmentation d’année en année. Cette situation apparemment paradoxale s’explique par la nature du marché sur lequel opère cette industrie : le marché de l’addiction. Le Docteur Daniel Thomas affirme que le tabac chauffé n’est pas un produit de sevrage, mais une porte d’entrée vers le tabagisme. La littérature précise que sa fumée reste voisine de celle de la cigarette traditionnelle de tabac. 

Dans une lettre publiée en octobre 2018 la Société Francophone de Tabacologie met en avant une étude suisse publiée sous forme de « research letter » en 2017. Cette étude a été conduite par le Dr Reto Auer, de l’université de Berne, et des toxicologues de l’université de Lausanne, et visait à comparer les composés présents dans l’aérosol de l’iQOS à ceux d’une cigarette conventionnelle (Lucky Strike Bleu light) : nicotine, oxydes de carbone et d’azote, composés organiques volatils (COV), hydrocarbures aromatiques polycycliques (HAP). Les chercheurs ont mis en évidence la présence de certains composés toxiques à des concentrations non négligeables dans l’aérosol de tabac chauffé (voir tableau). L’iQOS dégagerait 82 % de l’acroléine (COV, irritant et toxique cardiovasculaire), 74 % du formaldéhyde (COV, carcinogène et irritant) et 50 % du benzaldéhyde (HAP, carcinogène) retrouvés dans la fumée de cigarette.

SFT - IQOS

La cigarette de tabac produit de la fumée par combustion (CO, goudrons, métaux) et contient plus de 4 000 composés chimiques dont au moins 50 sont cancérigènes, ainsi qu’un grand nombre de produits toxiques (mercure, monoxyde de carbone, plomb, ammoniac, arsenic…). Il provoque plus de 8 cancers du poumon sur 10, près de 70 % des cancers des voies aérodigestives supérieures (bouche, larynx, pharynx, œsophage), 50 % des cancers de la vessie et 30 % des cancers du pancréas (source : Institut National du Cancer).

La cigarette électronique produit de la vapeur et contient uniquement 4 types d’ingrédients : le propylène glycol, la glycérine végétale, la nicotine – le tout de qualité pharmaceutique avec plus de 99,5% de pureté et l’arôme – de qualité alimentaire. La vape est un outil transitoire de sevrage en 2 étapes : quitter le tabac puis aller vers un sevrage nicotinique. La présence de nicotine dans les e-liquides est un des facteurs clés de succès de la cigarette électronique comme moyen de sevrage tabagique. En effet, un fumeur désirant arrêter le tabac est dépendant à la nicotine qu’il inhale avec la fumée de cigarette. En passant à la cigarette électronique, il supprime les risques liés à la combustion (CO, goudrons, métaux, nitrosamines et plus de 4 000 substances chimiques) de la cigarette sans ressentir le manque de nicotine. Dans un deuxième temps, il pourra réduire progressivement et en douceur son taux de nicotine. Le CO diminue l’oxygénation du corps car il prend la place de l’oxygène dans le corps. Avec l’arrêt de la combustion du tabac, l’oxygène retrouve sa place dans le corps.

Des études scientifiques et cliniques sur l’efficacité du vapotage

En Europe et en France, des études scientifiques et cliniques sont actuellement en cours. Une étude publiée en 2013 et mise à jour en 2015 puis en 2018 (sur les risques pour la santé et le rôle de la nicotine) dans le Public Health England, une agence exécutive du Department of Health and Social Care au Royaume-Uni qui a pour mission de protéger et d’améliorer la santé du pays et de lutter contre les inégalités, affirme que la cigarette électronique serait 95% moins nocive que le tabac.

Les principales conclusions de cette étude sont les suivantes

  • Le vapotage ne représente qu’une infime partie des risques de fumer et le fait de passer complètement du tabac à la vape apporte des avantages substantiels pour la santé
  • Les cigarettes électroniques pourraient contribuer à ce que, au moins 20 000 personnes par an puissent réussir à sortir du tabagisme, et possiblement encore beaucoup plus
  • L’utilisation de la cigarette électronique est associée à une amélioration des taux de réussite au cours de la dernière année et à une baisse accélérée des taux de tabagisme à travers le pays
  • Plusieurs milliers de fumeurs croient à tort que vapoter est aussi nocif que fumer ; environ 40% des fumeurs n’ont même pas essayé une cigarette électronique
  • Il y a beaucoup de malentendus au sujet de la nicotine chez le public (moins de 10% des adultes comprennent que la plupart des effets néfastes de la cigarette sur la santé ne sont pas causés par la nicotine)
  • L’utilisation des cigarettes électroniques au Royaume-Uni a plafonné au cours des dernières années à un peu moins de 3 millions de personnes
  • Les données probantes ne corroborent pas le fait que les cigarettes électroniques soient une passerelle vers le tabagisme chez les jeunes (les taux de tabagisme chez les jeunes au R.-U. continuent de baisser, l’utilisation régulière est rare et est presque entièrement confinée à ceux qui ont déjà fumé)
  • L’examen des preuves de Public Health England vient juste quelques semaines après un rapport de l’Académie des sciences aux USA, sur la cigarette électronique. Leurs conclusions révèlent également que, d’après les données disponibles, les cigarettes électroniques sont sans doute beaucoup moins nocives que les cigarettes de tabac combustibles.

Dans ce pays d’ailleurs, la cigarette électronique est partie intégrante de la lutte contre le tabac et dispose d’une AMM (Autorisation de Mise sur le Marché).

Les laboratoires de recherche sur la vape ont le devoir de mettre des études cliniques sérieuses en place au niveau français et européen pour normaliser, apporter des réponses et des recommandations.

Par exemple, le Journal of the American College of Cardiology a publié une étude Clinique majeure qui a démontré qu’en un mois les nouveaux vapoteurs récupèrent près de la moitié de leur capacité de vasodilatation.

Les cas survenus aux Etats-Unis fin 2019 n’ont rien à voir avec le vapotage pratiqué en Europe et en France. La e-cigarette aux Etats-Unis peut contenir toutes sortes d’additifs y compris de l’huile de cannabis et atteindre des taux de nicotine élevés, le tout sans contrôle obligatoire des autorités sanitaires américaines. Le CDC (Centers for Disease Control and Prevention – principale agence de santé publique aux Etats-Unis) a confirmé que l’huile de THC (principale molécule active du cannabis) est la cause de ces nombreuses maladies qui ont touché plusieurs centaines de vapoteurs aux Etats-Unis.

Concernant la nicotine, la molécule de nicotine en elle-même ne présente pas de danger et n’est pas cancérigène, mais elle est addictive comme la caféine par exemple ou la taurine. Il ne faut pas oublier que la cigarette électronique reste un moyen de sevrage : dans un premier temps, sevrage du tabac, dans un second temps, sevrage nicotinique.

Cependant, il est important que la nicotine soit correctement délivrée par le matériel afin que le vapoteur ne souffre pas de manque, ce qui pourrait entraîner une rechute vers la cigarette classique. Le CRIVAPE a testé les performances et la stabilité des aérosols de différentes cigarettes électroniques (leaders du marché au début de l’année 2019) afin de mesurer la délivrance de nicotine. Sur les différentes cigarettes électroniques testées, la délivrance de nicotine est assurée, il n’y a donc pas de rechutes possibles vers le tabac.

En France, deux études cliniques sont en cours dans 17 hôpitaux français. L’une de ces études, intitulée « ECSmoke » vise à montrer officiellement que la vape est un outil efficace dans la lutte contre le tabac. Toujours en France, il existe actuellement 10 projets dédiés à étudier les contours de la vape, par exemple : l’effet passerelle, ou l’effet de la vape sur le long terme. Ces projets sont financés par l’IREPS (Institut de Recherche en Santé Publique), l’INCA (Institut National du Cancer), et l’INSERME (Institut national de la santé et de la recherche médicale). Crivape et la faculté de médecine de Strasbourg participent à certains de ces projets.

Les émissions d’aérosol sous contrôle

En Europe et particulièrement en France, les produits du vapotage sont contrôlés et notifiés. Nous savons « ce qui sort » d’une vape : les données sur les émissions de l’aérosol doivent être notifiées sur une plateforme européenne. Elles sont normées au niveau français et commencent à être normées au niveau européen, et sont en cours de normalisation au niveau international :

  • (FR) AFNOR 3 XPD90-300 1 à 3
  • (EU) CEN, 4 GROUPES DE TRAVAIL TC437
  • ISO (international) : 20714 – 2019, et 20768 – 2018

 

Fin 2019, le SRNT (Society for Research on Nicotine and Tobacco) Europe a présenté son dernier travail scientifique concernant l’évaluation des composés carbonyles d’un aérosol émis par les cigarettes électroniques. Les conclusions prouvent que la sécurité des vapoteurs est garantie.

 

Attention à ne pas confondre l’éthylène-glycol, un antigel et le propylène glycol qui est un composant chimique de synthèse issu de l’agroalimentaire. C’est un liquide incolore, légèrement visqueux et pratiquement inodore. Il est l’un des supports d’arômes les plus utilisés dans l’industrie agro-alimentaire et sert d’exhausteur de goût en restituant très fidèlement la saveur authentique de l’arôme.

La molécule de nicotine en elle-même ne présente pas de danger et n’est pas cancérigène, mais elle est addictive comme la caféine par exemple ou la taurine. Il ne faut pas oublier que la cigarette électronique reste un moyen de sevrage : dans un premier temps, sevrage du tabac, dans un second temps, sevrage nicotinique. En France les e-liquides non nicotinés ne peuvent pas contenir de nicotine dans la mesure où leur composition doit être déclarée auprès de l’Agence Nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (ANSES) et auprès des centres antipoison et l’INRS et la FDS. La Direction Générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des Fraudes (DGCCRF) se porte garante du contrôle de la véracité de ces déclarations par rapport à la composition effective du e-liquide. En cas de non-respect des normes, des sanctions peuvent être appliquées.

Il est important que la nicotine soit correctement délivrée par le matériel afin que le vapoteur ne souffre pas de manque, ce qui pourrait entraîner une rechute vers la cigarette classique. Crivape a testé les performances et la stabilité des aérosols de différentes cigarettes électroniques (leaders du marché au début de l’année 2019) afin de mesurer la délivrance de nicotine. Sur les différentes cigarettes électroniques testées, la délivrance de nicotine est assurée et de manière constante, il n’y a donc pas de rechutes possibles vers le tabac.

Selon la norme AFNOR XP 2 90 300-3, il est nécessaire pour les fabricants de e-liquides de faire mesurer la quantité d’aldéhydes présents dans les e-liquides. Crivape a analysé la composition de la vapeur générée dans les aérosols ainsi que les quantités de carbonyles. Les résultats sont qu’à chaque série, l’aérosol qui est généré a la même composition qu’au début et les quantités de carbonyles sont bien en dessous de ce qui est autorisé par AFNOR.

Pas de vapotage passif

Dans des applications maîtrisées, il n’existe pas de vapotage passif. Une étude publiée par le National Center for Biotechnology Information a démontré qu’aucun changement significatif n’a été observé lorsqu’on a comparé les concentrations d’haleine exhalée durant le vapotage et l’absence de jours de vapotage.

Un accès régulé de la vape par les mineurs

Si la commercialisation des e-liquides se fait dans un cadre défini et selon une réglementation très stricte en Europe et en France, cela a un impact évident sur l’accès aux mineurs à la cigarette électronique. Il est interdit de leur vendre des produits du vapotage.

En France, la part des abstinents chez les lycéens (ceux qui n’ont jamais, ni consommé de tabac, ni utilisé de cigarettes électroniques) demeure stable à 35,7% selon une étude publiée en 2019 par l’Observatoire Français des Drogues et des Toxicomanies. Concernant le vapotage quotidien chez les jeunes français de 17 ans, il reste quasiment inexistant et concerne majoritairement ceux qui déclarent être des fumeurs quotidiens de cigarettes. C’est en tout cas ce qu’affirme l’enquête Escapad 2017  réalisée elle aussi par l’OFDT. Il n’existerait donc aucun « effet passerelle » de la cigarette électronique vers la consommation de tabac. Comparer l’usage de la cigarette électronique chez les jeunes aux Etats-Unis et en France n’est pas concevable. 

Concernant les femmes enceintes, la faculté de médecine de Dublin a fait une étude prospective auprès d’utilisatrices de cigarettes électroniques, enceintes, qui fréquentent une grande maternité urbaine -8500 naissances par an-. Les bébés nés de mères vapoteuses et ceux nés de mères abstinentes sont identiques en termes de développement, de poids et d’état de santé global. Il existe un kit d’information de la e-cigarette auprès de la femme enceinte au UK 

La vape : un moyen de sevrage tabagique efficace

En 2016, le Royal College of Physicians of London a publié un rapport estimant que la vaporisation de nicotine (parfois appelée e-cigarettes) était au moins 95% plus sûre que le tabagisme et devrait être encouragée, pas lourdement taxée, découragée ou interdite. D’autres groupes prestigieux ont de nouveau emboîté le pas. Fondé en 1518, le Collège royal des médecins est sans doute l’organisation de santé la plus prestigieuse au monde. Ils travaillent avec plus de 25 000 médecins de plus de 100 pays. Ce sont des leaders mondiaux de la santé et de la médecine.

Plusieurs études prouvent l’efficacité et la sûreté de la cigarette électronique. Quelques exemples :

  • fin 2019, le SRNT (Society for Research on Nicotine & Tobacco) Europe a présenté son dernier travail scientifique concernant l’évaluation des composés carbonyles d’un aérosol émis par les cigarettes électroniques. Les conclusions prouvent que la sécurité des vapoteurs est garantie.
  • une étude publiée dans le New England Journal of Medicine a démontré que l’on a deux fois plus de chances de sortir du tabac grâce à la cigarette électronique qu’avec les autres moyens de sevrage
  • selon un essai clinique mené par l’Université Queen Mary de Londres , la cigarette électronique est plus efficace que les autres substituts nicotiniques déjà présents sur le marché.
  • En 2019, Crivape a testé les performances et la stabilité des aérosols de différentes cigarettes électroniques (leaders du marché au début de l’année 2019) afin de mesurer la délivrance de nicotine. La délivrance de nicotine est assurée, il n’y a donc pas de rechutes possibles vers le tabac.

Un marché très réglementé

Depuis 2016, l’Europe (donc la France) est soumise à la Directive Européenne sur les produits du tabac.

Cette ordonnance impose aux fabricants d’e-liquides contenant de la nicotine un certain nombre de règles pour commercialiser leurs produits :

  • Obligation de déclarer sur une plateforme européenne la composition de tous les produits contenant de la nicotine
  • Obligation d’informer les consommateurs des potentiels risques liés à la consommation et à l’utilisation de produits nicotinés
  • L’ajout dans chaque emballage d’une notice détaillant les conditions d’utilisation, les contre-indications, les effets indésirables, les coordonnées du fabricant (traçabilité) et les risques de dépendance.
  • Limitation du volume des flacons contenant de la nicotine à 10ml
  • Obligation d’attendre 6 mois entre la déclaration d’un produit et sa commercialisation
  • Interdiction de faire de la publicité. Le marché de la cigarette électronique est très réglementé en France : chaque fabricant de e-liquides doit notifier la composition de ses produits auprès de l’ANSES (depuis 2016) et déposer une fiche de sécurité recensant les risques pour la santé auprès de l’INRS (Institut national de recherche et de sécurité). Les centres antipoison peuvent être contactés par les particuliers et les praticiens qui ont des questions à ce sujet.

Depuis 2015 en France, il existe trois normes expérimentales AFNOR (Association française de normalisation) à savoir les XP D90-300 1, 2 et 3. La norme AFNOR XP D90-300-2 spécifie les exigences en matière de e-liquides. Ils contiennent 4 types d’ingrédients : le propylène glycol, la glycérine végétale, la nicotine – le tout de qualité pharmaceutique avec plus de 99,5% de pureté et l’arôme – de qualité alimentaire. Pour vapoter en toute sécurité, il faut privilégier les e-liquides certifiés AFNOR (qui garantissent leur composition, le bon conditionnement et l’absence de substances à risque).

En France, l’article 28 du code de la santé publique du 26 janvier 2016 prévoit qu’il est désormais interdit de vapoter dans les « lieux de travail fermés et couverts à usage collectif », des transports en commun et de tout établissement qui accueille des mineurs, comme les établissements scolaires ou d’accueil par exemple.

Depuis octobre 2019, l’ANSM (Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé) a créé une plateforme de centralisation afin de recenser le moindre problème qui pourrait survenir après l’utilisation d’une cigarette électronique. À ce jour, aucun problème sanitaire n’a été déclaré dans notre pays.

Toutes les cigarettes électroniques vendues sur le marché européen doivent être certifiées CE, Rohs (limiter l’utilisation de six substances dangereuses dans les équipements électriques et électroniques), CEM (Compatibilité Electro Magnétique) et REACH (évaluation et d’autorisation des substances chimiques).

En ce qui concerne le matériel, la cigarette électronique en elle-même ne peut pas exploser. Il existe deux types de mod pour les cigarettes électroniques : les mods électroniques et les mods mécaniques. Avec les mods électroniques il n’y a aucun risque d’explosion. Au moindre problème la batterie se met en sécurité. Dans les mods mécaniques, l’accumulateur est la partie sensible qui doit être isolée des objets métalliques. Le seul cas d’explosion recensé en France a été causé par le contact d’un accu sans protection et d’une clé métallique. Il faut des protections physiques et électroniques autour de l’accu. Pensez à la conserver dans son étui d’origine.

Un positionnement positif des organismes de santé

En France certains organismes, organismes de santé, et des gouvernements ont examiné des données scientifiques sur le vapotage et ont mis au point un positionnement positif. Crivape souhaite informer sur le positionnement de ces différents organismes de santé français concernant la cigarette électronique. Découvrez dès maintenant notre article : Les organismes de santé : un positionnement positif sur la cigarette électronique.

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